Sophrologie contre la dépression : reconnaître et lutter contre les (re)chutes

Les effets de la sophrologie contre la dépression s’observent en dehors de la phase aigüe de dépression.

pratiksophro; associée à la nature je vous accompagne pour sortir de votre depression

Ensemble

La sophrologie contre la dépression vous apporte
  • un retour aux sensations corporelles,
  • le développement de votre capacité à vous écouter, à vous concentrer sur vous-même,
  • un changement de regard sur vous et sur le monde qui vous entoure,
  • le retour du positivisme, de l’apaisement et de la sérénité.
Je vous propose une écoute bienveillante et respectueuse. Sans jugement. Et, selon vos envies,
  • des séances alliant sophrologie et sport (marche ou course à pied), pour une plus grande sécrétion des endorphines naturelles. Ces séances sont particulièrement recommandées lors de la réduction des dosages de prises médicamenteuses : « vous devenez votre propre médicament ».
  • des séances en forêt, pour combattre encore plus intensément le repli sur soi et les idées négatives. Ces séances permettent de sortir, de voir des gens et surtout de se ressourcer dans un espace naturel, dont les neurosciences ont montré un effet très positif dans les parties du cerveau nécessaire au traitement durable et stable des dépressions et des rechutes ! Les arbres doivent, comme nous, lutter contre des maladies. Et sans pouvoir s’enfuir, ils trouvent la force de lutter, de vaincre la maladie et de continuer à vivre et à se développer pendant de longues années.

Sophrologie contre la dépression

Quelle que soit votre situation (un peu déprimé, au fond du gouffre, en voie de guérison ou en passe de rechuter), ne restez pas seul : parlez-en. Que vous soyez prêt à agir ou pas, en parler c’est déjà avancer.

Ensemble et en m’adaptant à vous, je vous aiderai à avancer avec la sophrologie contre la dépression. 

Reconnaître la dépression

La 1ère étape pour s’en sortir, est de reconnaître la dépression. Qu’elle soit d’origine personnelle ou professionnelle, la dépression ne se voit pas toujours. Ni par les personnes concernées, ni par leur entourage, entraînant alors l’incompréhension des proches. Cet immense bouleversement interne est pourtant une réalité.


Les personnes atteintes de dépression peuvent souffrir de

  • troubles alimentaires
  • démotivation,
  • troubles physiques : fatigue, ralentissement, trouble de la concentration, de la mémoire, insomnies, difficulté à prendre des décisions. Puis peu à peu, elles ne peuvent plus avancer, ni se lever, ni bouger. Les batteries sont à plat. L’épuisement est général et des douleurs chroniques peuvent apparaître.<
  • troubles de l’humeur : intense tristesse, dévalorisation personnelle, angoisses (de ne pas dormir quand la nuit tombe, ou d’autres), désespoir, stress. Peu à peu, les personnes peuvent ressentir un immense vide, elles sont comme bloquées en elles-mêmes : il n’y a plus d’envie, plus de plaisir à partager, à manger, à rien. Elles n’arrivent plus à avoir le goût de vivre, ni à donner assez de sens à leur vie.

     

    Prisonnières de schémas d’émotions négatives et stables dans le temps, ces personnes se réveillent tristes et le restent toute la journée. Plusieurs jours, plusieurs semaines de suite. La personne dépressive perçoit sa vie comme entre parenthèse, et va peu à peu s’exclure.

    Physiologiquement, après une dépression, les neurobiologistes constatent des anomalies physiques, des réductions de certaines structures du cerveau régulant les émotions.

Vous n'êtes pas tout seul à être déprimé

Socialement, la dépression est une vraie épidémie : 20% des français sont frappés par une dépression au cours de sa vie. Après une dépression, le risque de rechute constaté est de 50%, et après deux dépressions, le risque est de 90%.

Les origines de la dépression

La dépression n’intervient pas par hasard dans nos vies. Il y a toujours un facteur déclenchant. Mais il n’existe en aucun cas une cause unique de la dépression. Les facteurs impliqués sont multiples, et en interaction : le mode de vie (solitude, relations au travail, mauvaise alimentation, tabac…), histoire personnelle, …. Aucune transmission héréditaire génétique n’est avérée, néanmoins il peut exister une certaine vulnérabilité familiale (les modèles parentaux influencent les réactions et le regard des enfants).

La société nous pousse à donner une image positive de nous-même, à montrer que nous allons bien, et nous essayons de croire à cette image, de la faire nôtre. Il n’y a pas de place pour la souffrance, la dépression, la vieillesse ou la mort. Juste pour le déni.

Le déni est un processus actif pour ne pas sentir et pour ne pas penser. Souvent, le déni passe par l’hyperactivité : travailler toujours plus, plus dur, faire du sport à outrance, sortir sans arrêt. Le déni maximise ainsi la part de nous qui s’adapte aux exigences des autres dans le « paraître », en laissant de côté l’autre part de nous, du côté de « l’être », de notre inconscient et de notre essence : on ne se laisse plus de place, plus de temps, plus de possibilité d’exister ou de respirer.

Personne n’a le droit (quel que soit son rôle ou son statut) de nous maltraiter, et nous nous devons à nous même de nous faire respecter. Il s’agit de retrouver notre espace et cette fois d’apprendre à le protéger, à nous protéger.
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Des idées suicidaires ?

En cas de dépressions sévères, en phase aigüe, lors d’une souffrance psychologique terriblement forte, des idées de mort peuvent survenir. Il ne faut pas hésiter à en parler, ce n’est pas tabou ! En parler pour le reconnaître et pouvoir le voir comme une fièvre de l’esprit. Une fièvre qui peut certes monter certains jours, mais qui peut aussi être endiguée par un bon suivi psychologique ou psychiatrique, voir médicamenteux (pour réduire la période de souffrance). L’hospitalisation peut également apporter une sécurisation matérielle pour pouvoir commencer à se reconstruire, améliorer son état.

Quels sont les actions de la sophrologie contre la dépression ?

Comment lutter par la sophrologie contre de dépression ?

La sophrologie pratiquée avant la phase aigüe de dépression permet de prendre conscience de la situation et de prendre du recul sur ce qui est vécu. Cela permet également de renforcer la confiance et l’estime de soi. 

Les médecins peuvent prescrire des anxiolytiques (ou benzodiazépines) qui agissent rapidement sur les angoisses. Une dépendance s’observe parfois après 2-3 mois de traitement. Pour des traitements de plus longues durées, les antidépresseurs sont utilisés. Ils agissent en 2-3 semaines sur 70% des dépressions.

Quel que soit le type de traitement, le sevrage se fait par diminution très progressive.

Une fois la période critique passée, pour accélérer l’arrêt des traitements et stabiliser la situation (éviter les rechutes), les pratiques de la sophrologie, du sport, de la méditation pleine conscience, et/ou une thérapie peuvent aider.

 Comment prévenir une rechute, comment soigner autrement, la sophrologie contre dépression

Après une phase aiguë, si l’on reprend ses habitudes sans rien changer, le naturel revient au galop, et attention alors à la rechute !

Les rechutes sont souvent plus dures à vivre : on pensait s’en être sorti, que ce n’était qu’un mauvais moment à passer, le temps nécessaire pour s’en sortir est plus long.

Dans les cas de dépressions relativement légères, ou suite à la phase aiguë, ou pour éviter une rechute, des méthodes alternatives peuvent être utilisées, en accompagnement des soins psychologiques et médicamenteux nécessaires.

Différentes méthodes

  • Lutter par la sophrologie contre la dépression consiste à identifier le type et la localisation des douleurs corporelles et/ou mentales. Identifier et verbaliser les douleurs pour pouvoir les accepter et s’en débarrasser. Pour ne plus subir son état d’esprit, il faut apprendre comment son cerveau fonctionne. La sophrologie ou la méditation de pleine conscience permet cet entrainement de l’esprit via un retour aux sensations corporelles, au développement de sa capacité à s’écouter, à se concentrer sur soi-même.
  • La thérapie cognitive comportementale TCC vise à prendre conscience et à désapprendre les pensées automatiques négatives incorrectes en se fixant notamment des objectifs à sa portée (marcher, courir, aller au cinéma, cuisiner une fois par semaine…).
  • La luminothérapie peut aider en cas de dépression saisonnière liée à un manque de lumière en hiver. Un surplus de lumière le matin peut en effet resynchroniser l’horloge biologique et permettre au cerveau de se réveiller.
  • Le « régime méditerranéen » (riche en fruits, légumes, oméga 3 -huile d’olive ou de noix-, et vitamines D et B9) permettrait aussi de diminuer les dépressions en modifiant les bactéries de la flore intestinale, qui communiquent avec le cerveau via le nerf vague.
  • Le sport, à raison de 2 à 4 séances de 30 à 40 min par semaine. Un sport pas trop intense (jogging lent, marche rapide …) permet d’augmenter la sérotonine dans le cerveau, d’arrêter de ruminer ces idées noires au profit d’idées positives. Et ainsi de limiter les risques de dépression.
  • L’hypnose ericksionnienne est aussi décrite comme aidant à lutter contre les douleurs.

Mais la guérison définitive d’une dépression n’est jamais garantie. Pour éviter la rechute, il s’agit de tout mettre en œuvre pour s’aider, s’écouter soi-même, développer une vie plus épanouie et plus détendue, corps et esprit connectés et en harmonie.